Instaurée en 2008, la Journée Mondiale de la Sauvegarde de Données est célébrée le 31 mars et fête donc aujourd’hui ses 13 ans.
Son objectif est de rappeler aux particuliers mais surtout aux professionnels, que nos données informatiques, que l’on peut qualifier de patrimoine numérique, sont précieuses et qu’il est particulièrement risqué de les garder stockées qu’à un seul endroit.
En effet, tout ou presque est aujourd’hui informatisé et à l’heure où les cyberattaques ou même les catastrophes naturelles font rage, sans oublier les potentiels accidents comme l’a rappelé récemment l’incendie du datacenter d’OVH, la perte ou le vol de données informatiques s’avèrent particulièrement catastrophiques pour une entreprise. Or le contexte économique actuel est déjà suffisamment délicat sans en rajouter…
Selon l’étude Global Data Protection Index (GDPI) de 2020 :
- 24% des entreprises françaises ont subi une perte de données au cours de l’année écoulée, avec un coût moyen d’environ 420 000€
- 37% des entreprises françaises ont subi des temps d’inactivité imprévu de leur système informatique pour un préjudice moyen d’environ 325 000€
Il faut également prendre en compte les coûts annexes pour rechercher l’origine de la perte, effectuer les récupérations et restaurations de données (quand c’est possible), prévenir les clients, faire la déclaration à la CNIL (dans les 72h maximum selon le RGPD) sans omettre le préjudice au niveau de l’image de marque de l’entreprise…
C’est pourquoi il est particulièrement recommandé de réaliser au minima une sauvegarde régulière de nos données sur un deuxième support qu’il soit physique ou dans le cloud, voir même les deux pour encore plus de sécurité et d’être convenablement équipé en antivirus et firewall.
AITEC propose des solutions professionnelles pour vous accompagner dans cette démarche : NAS, solutions hébergées, protection de votre réseau et serveurs, stormshield.. N’hésitez pas à prendre contact avec nos conseillers pour réaliser un audit de votre équipement !
Parce que les mauvaises blagues n’attendent pas forcément le 1er avril pour se produire, prenez dès aujourd’hui vos dispositions pour vous protéger ainsi que votre entreprise et vos collaborateurs…